Cette fin d’année, je travaille sur un projet de résolution afin d’obtenir des accords commerciaux responsables, notamment avec la Nouvelle-Zélande et l’Australie. C’est dès le 27 novembre que les auditions ont commencé. Tout d’abord avec l’ambassadrice de Nouvelle-Zélande Jane Coombs, puis avec l’ambassadeur d’Australie Brendan Berne. Des rencontres particulièrement intéressantes qui ont permis de lancer les discussions sur leur pays respectif.
Dès le début du mois de décembre, j’ai rencontré de nombreux acteurs du paysage économique et environnemental français. Moments d’échange qui se poursuivront avec des entreprises – pour évaluer les retombées des accords commerciaux, notamment pour les PME françaises –, avec le Gouvernement ou encore avec les négociateurs.
Le 11 décembre, j’ai rencontré Edouard Bourcieu, conseiller commercial à la représentation de la Commission européenne en France. La même journée, j’ai auditionné des représentants de la Fondation pour la Nature et l’Homme, et l’institut Veblen sur l’environnement. J’ai également longuement échangé avec des représentants de la CNIEL (Centre national interprofessionnel de l'économie laitière) et de la FNSEA (Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles) sur l’impact que pourrait avoir ces accords sur nos agriculteurs et agricultrices.
J’ai pour volonté d’influer sur les accords commerciaux pour nous assurer qu’ils respectent non seulement nos territoires mais également l’environnement.