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Mon intervention sur la sobriété à La Sorbonne lors de la table ronde du CNRS


« Il ne faut pas renier notre héritage de progrès, mais l’urgence écologique est là. »

J’ai participé à une table ronde sur les enjeux technologiques de la sobriété, lors du colloque sur les limites planétaires organisé par le CNRS à La Sorbonne.

L’opportunité de présenter les conclusions du rapport que j’ai co-écrit dans le cadre de l’OPECST.

- Qu'est ce que la sobriété ? C'est un modèle d’organisation collective fondé sur le « juste assez » - une modération consistant à éviter les demandes superflues en ressources, grâce à des incitations à produire et consommer de manière plus économe.

- Quels en sont les principaux freins ? Le manque d’information des consommateurs, la pression publicitaire et les mythes qu’elle véhicule ou encore la difficulté de changer des habitudes de consommation profondément ancrées dans les mentalités.

- Comment s'en saisir ? Au travers de ce rapport, notamment dans le domaine des transports, j'ai pu exposer l'importance d'une future réduction du poids du parc automobile français. C’est un enjeu clé en anticipation de la démocratisation de la voiture électrique, plus lourde et plus consommatrice de métaux rares.


Un plaisir d'échanger avec les autres intervenants dont l’économiste Mireille Chiroleu Assouline, le chercheur en informatique Abdoulaye Gamatie et le philosophe Thierry Ménissier, pour cette table ronde très enrichissante.

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